SYLVIE HEFFINGER RACONTE LE RAPT ADMINISTRATIF DE SON PETIT GARÇON LEEROY À BORDEAUX.

“ MON PETIT GARÇON LEEROY A ÉTÉ ENLEVÉ ! “ L’enlèvement d’un petit enfant à Bordeaux : un crime administratif, résumé par Sylvie Heffinger, la maman. (Contact : soldjah.combat@gmail.com ) ( RÉSUMÉ, puis infos sur mon ASSOCIATION, CONTACTS, PÉTITION, LIEN PAYPAL POUR LES DONS, CHANSON POUR LEEROY.)

(Lien PAYPAL pour aider la maman : paypal.me/leeroycombat971 . Voir les instructions au chapitre consacré à l’appel aux dons.)

MON PETIT GARÇON LEEROY A ÉTÉ ENLEVÉ ! “
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Mon petit garçon LEEROY né en janvier 2015, a été emmené hors de sa crèche de Bordeaux le 30 mai 2018 après mon départ.

Rien de concret ne m’était reproché en tant que maman, et les Juges qui m’ont arraché mon enfant ne s’appuient que sur des dénonciations calomnieuses et sur des faux.

AUCUNE NOUVELLE DE MON ENFANT…

Depuis le 30 mai 2018 je n’ai pas de véritables nouvelles de mon petit garçon qui est gardé dans un lieu secret.

Le Département de la Gironde m’envoie des fausses nouvelles généralement non signées, et qu’il n’assume pas officiellement. Invariablement, on me prétend que mon petit garçon « va bien, mange bien, se porte bien ». Pourtant, des documents médicaux me prouvent que Leeroy est maltraité.

UNE OPÉRATION CHIRURGICALE, MAIS PAS DE MÉDECIN… : LEEROY DANS UNE SECTE ?

Début 2020 le Département m’a enfin avoué que Leeroy est gravement malade, et voulait même le faire opérer.
Mais vu les scandales de violences y compris sexuelles qui ont révélé le triste sort des enfants du foyer d’Eysines en 2017 et 2019, j’ai soupçonné que le véritable but de l’opération chirurgicale était de cacher des maltraitances sexuelles. Alors j’ai posé une condition pour donner mon accord : qu’un VRAI MÉDECIN y donne un avis favorable – un médecin indépendant de l’Aide Sociale à l’Enfance de Bordeaux, et qui donne son NOM, car Leeroy n’est entouré que de personnages dont on me cache l’identité, il s’agit pour moi d’une SECTE.
Alors le Département fut pris de panique, et m’assaillit de coups de téléphones et de courriels contradictoires, les uns m’annonçant que l’opération était indispensable et imminente, les autres m’annonçant qu’elle n’était pas nécessaire pour le moment…

MA PLAINTE EN GENDARMERIE, POUR ENLÈVEMENT DE MINEUR.

Devant toutes ces incohérences, le DANGER couru par mon petit garçon entre les mains de personnes inconnues, m’est apparu assez évident pour que j’alerte une gendarmerie dans un autre département : un commandant a trouvé l’affaire si grave, qu’il m’a invitée à faire saisir en urgence un juge d’instruction.

NOUS SOMMES CONDAMNÉS POUR AVOIR DÉFENDU UN ENFANT, MAIS NOS ACCUSATEURS SE CACHENT !

Les administrations bordelaises ont toutes les preuves des maltraitances physiques et psychologiques subies par mon enfant, mais c’est moi et deux lanceurs d’alertes qui avons été condamnés pour « diffamation » parce que nous avons dénoncé ces actes criminels. Jamais je n’ai été confrontée à mes adversaires qui sont des fonctionnaires et des cadres associatifs, et qui jouissent de l’impunité grâce à des procédures truquées et à de solides complicités.

Pendant ce temps, que devient mon petit enfant brusquement arraché au bonheur qu’il vivait avec moi ?

Les lanceurs d’alertes qui me soutiennent et moi-même, sommes victimes d’un harcèlement procédurier, nous sommes frappés par des condamnations…

DES MAGISTRATS INDIGNES DE LEUR CHARGE.

Mais les magistrats bordelais ont commis des erreurs qui vont se retourner contre eux : ils nous ont condamnés pour avoir dénoncé des faux en écritures, des faux diagnostics et d’autres actes criminels qui tous sont incontestablement PROUVÉS, et ils ont donc apporté la preuve qu’ils n’ont pas dénoncé des crimes commis contre un petit enfant et contre sa mère : en cas de nouvelle poursuite contre moi, je ne laisserai pas se reproduire les mascarades judiciaires antérieures !

UN DOSSIER SOLIDE… CONTRE UNE BANDE BIEN ORGANISÉE !

Toutefois je l’ai dit, début mars 2020 une gendarmerie du département de l’Yonne a pris très au sérieux cette affaire de séquestration et de maltraitances sur un petit enfant, et les Gendarmes m’ont conseillé de déposer une plainte avec constitution de partie civile et saisine en urgence d’un juge d’instruction, au tribunal de Sens.

La Gendarmerie a trouvé « magistral » le Dossier qui lui a été remis : c’est le fruit de nombreux mois de coopération avec un petit groupe de rédacteurs déterminés à faire éclater la vérité. Notre tâche n’a pas été facile, parce que chaque FAIT (dénonciation calomnieuse, faux en écritures, etc) a dû être prouvé rigoureusement, face à des délinquants habiles qui se couvrent les uns les autres, qui se font muter pour échapper à une confrontation imprévue avec moi devant un tribunal, qui ne laissent presque pas de traces écrites, qui dissimulent leurs noms et parfois leur existence, etc…

UN ENFANT VICTIME D’UN LAVAGE DE CERVEAU.

Je proteste aussi publiquement contre un véritable enlèvement d’enfant, suivi de maltraitances envers mon petit garçon qui de plus a subi un LAVAGE DE CERVEAU pour ne plus me reconnaître – c’est ce que j’ai constaté le 18 avril 2019, au cours de mon unique rencontre avec mon petit garçon depuis mai 2018.
Leeroy répétait mécaniquement des phrases apprises par cœur, manifestement sans les comprendre : on essayait de me faire croire qu’il allait régulièrement à l’école… J’ai voulu vérifier ses progrès réels : la médiatrice du Point Rencontre m’en a immédiatement empêchée !

En novembre et décembre 2018, une psychomotricienne avait déjà décelé un comportement curieux chez Leeroy qui lui demandait son âge à elle, tandis qu’il ne connaissait pas l’âge qu’il avait lui-même…

TOUUTES LES FAMILLES SONT MENACÉES : JE CRÉE UNE ASSOCIATION POUR DÉFENDRE LES ENFANTS.

Des dizaines de milliers de familles vivent des situations comparables en France.

L’affaire Leeroy Heffinger a une importance particulière parmi les affaires de PLACEMENTS ABUSIFS D’ENFANTS, parce qu’elle résulte de l’action combinée des administrations de plusieurs départements, notamment le Val-de-Marne, le Loir-et-Cher et la Gironde.

Une dérive mercantile amenant l’Aide Sociale à l’Enfance à se comporter comme un véritable réseau de trafic d’enfants, est dénoncée partout en France (et jusque dans les médias traditionnels en rupture avec l’omerta…), l’affaire Leeroy est une affaire-clé pour comprendre la traite d’êtres humains et pour la combattre.

Si vous me soutenez dans mon combat pour retrouver mon enfant, vous contribuerez aussi à protéger votre famille contre un véritable trafic d’enfants qui vous menace puisqu’il menace toutes les familles aujourd’hui : les travailleurs sociaux de l’Aide Sociale à l’Enfance, l’ASE, sont bien décidés à maintenir cette traite d’êtres humains qui les fait vivre et qui les enrichit,même si la conséquence est de briser des familles et d’exposer les enfants à des viols en attendant de les plonger dans la délinquance…

N’importe quel prétexte sera le bon, pour vous voler vos enfants, en vous faisant passer pour de mauvais parents : une absence à l’école, un enfant autiste ou hyperactif qu’une assistante sociale incompétente fera semblant de croire maltraité…

Il n’y a plus de « protection de l’enfance », il n’y a qu’un trafic d’enfants.

J’ai parfois tenté de recourir à des ASSOCIATIONS pour me soutenir. Il en est qui sont honnêtes, même si elles manquent de pouvoir. Mais nombre d’entre elles veulent surtout profiter de la détresse des parents pour leur soutirer de l’argent – quand elles n’ont pas été créées de toutes pièces par le réseau de trafic d’enfants, pour faire échouer les familles dans leurs actions en Justice !

J’ai entrepris en avril 2020, de créer une ASSOCIATION : AGIR EN CONSCIENCE POUR L’ENFANCE. Avec moi, ce sera du sérieux : pas de cotisation astronomique à verser, une publication régulière des comptes, et tout d’abord, une petite équipe de personnes aux compétences exceptionnelles et à la moralité éprouvée.

On peut accéder au site de l’association, à l’adresse associationagirenfance.wordpress.com . ( CONTACTS : soldjah.combat@gmail.com , et agir.enfance@gmail.com .)

LA FIN DU TRAFIC D’ENFANTS.

Le but : aider les familles à agir pour retrouver leurs enfants, et créer ainsi la dynamique qui amènera la fin du trafic d’enfants.
La stratégie : constituer pour chaque famille un DOSSIER D’ENQUÊTE CRIMINELLE, et MÉDIATISER LES AFFAIRES afin de placer la Justice sous le regard de l’OPINION PUBLIQUE et de provoquer ainsi des ENQUÊTES CRIMINELLES et une INSURRECTION PARENTALE.

Au-delà de mon affaire, au-delà même des souffrances subies par mon petit garçon Leeroy arraché à moi, c’est pour alerter sur le danger couru par toutes les familles, que ce site internet a été constitué.

Si l’affaire vous est déjà familière, vous trouverez des mises à jour dans les chapitres 5, 6 et 7 : voyez le SOMMAIRE.

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(( Début de rédaction en avril 2019, puis mises à jour successives. Témoignage recueilli et mis en forme par Jean-Michel Bessou, principal témoin de l’affaire dans sa partie bordelaise.)
Un DOSSIER exposant l’essentiel de l’affaire jusqu’à la situation de fin 2018, et comportant un certain nombre de PREUVES, est accessible directement en cliquant sur le lien affaireleeroy.wordpress.com . (D’autres dossiers actualisent la description de l’affaire en termes juridiques : ils sont à diffusion restreinte.)

CONTACT :
Sylvie Heffinger est joignable à l’ adresse email rootssoldjah@gmail.com .

PÉTITION
Voici un lien vers une PÉTITION lancée pour soutenir la maman :

https://www.mesopinions.com/petition/justice/leeroy-3-ans-1-2-ans/47474

APPEL AUX DONS, LIEN PAYPAL. Si vous décidez de m’apporter une aide matérielle, par exemple pour m’aider à assumer des frais d’avocat, vous pouvez le faire grâce au LIEN PAYPAL : paypal.me/leeroycombat971 .

COMMENT NOUS AIDER MATÉRIELLEMENT AVEC PAYPAL.

SUIVEZ LE LIEN paypal.me/leeroycombat971 , ou bien entrez-le dans votre NAVIGATEUR. Saisissez le montant que vous souhaitez envoyer, puis choisissez la source d’approvisionnement. Vous pouvez envoyer de l’argent avec votre solde PayPal, votre compte bancaire ou votre carte bancaire usuelle.

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De nombreuses publications sur Facebook et sur Youtube parlent de l’affaire. Généralement on y trouve les noms de Sylvie Heffinger, de « Soldjah Laroots » qui est son pseudonyme, et de LEEROY.)

CHANSON « LEEROY »
(composée et interprétée par Jean-Michel Bessou ) : CLIQUEZ ci-dessous pour l’écouter.

AU SOMMAIRE :

1° SÉPARÉE DE MON PETIT ENFANT : un instantané sur une situation douloureuse.

2° PRÉSENTATIONS.
Avant l’affaire bordelaise.

3° À BORDEAUX : un coup monté, suivi d’un rapt.

4° PAS DE NOUVELLES DE MON ENFANT : on est fondé à croire qu’il est aux mains d’un groupe sectaire.

5° PREMIÈRE RENCONTRE AVEC UN ENFANT QUI A SUBI UN LAVAGE DE CERVEAU (Mise à jour du 18 avril 2019).

6° LE PROCÈS DE LA HONTE :Sylvie est attaquée en Justice! Les personnes dont elle et Leeroy sont les victimes lui reprochent de les avoir dénoncées !
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7° PETITES MISES À JOUR DE NOVEMBRE 2019, PUIS DE MARS 2020 : Que s’est-il passé au procès de la honte, et après ?

8° MOIS DE MARS 2020 : LEEROY EST MALADE, ET LE DÉPARTEMENT PANIQUE LA SITUATION COMMENCE-T-ELLE À À SE RETOURNER?

9° LIENS VERS DES VIDÉOS DE LEEROY à des âges divers.

10° INTERVIEW DE SYLVIE HEFFINGER PAR HADAMA TRAORÉ EN JUIN 2018, peu après la soustraction illégale du petit LEEROY À La Crèche Le 30 Mai 2018.

11°INTERVIEW DE SYLVIE HEFFINGER DEVANT LE TRIBUNAL DE CRÉTEIL En juillet 2014.

12° CONFÉRENCE SUR LA PÉDOCRIMINALITÉ en 2015.

13° VIDÉOS SUR LES VIOLENCES DU FOYER D’EYSINES, les PLACEMENTS ABUSIFS EN GIRONDE, et sur les réactions du CONSEIL DÉPARTEMENTAL présidé par Jean-Luc Gleyze et Emmanuelle Ajon.

14° : LIEN VERS UN ARTICLE DE MÉDIAPART, CITANT L’AFFAIRE LEEROY.

15° L’APPEL DE SYLVIE HEFFINGER CONTRE LES RÉSEAUX PÉDOCRIMINELS ET LA MALTRAITANCE DES ENFANTS EN INSTITUTIONS, DÉCEMBRE 2017.

16° DEUX ANS APRÈS LE DÉBUT DU PLACEMENT ABUSIF DE LEEROY : UNE NOUVELLE AUDIENCE D’ASSISTANCE ÉDUCATIVE.

17° VIDÉO : JEAN-MICHEL BESSOU, LE TÉMOIN PRINCIPAL, PARLE DE L’AFFAIRE LEEROY, DEUX ANS APRÈS SON DÉBUT.

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SÉPARÉE DE MON PETIT ENFANT : UN INSTANTANÉ SUR UNE SITUATION DOULOUREUSE(voir la mise à jour en chapitre 5°)

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Bonjour.

Je m’appelle Sylvie Heffinger, et je suis mère de cinq enfants : malheureusement ma famille a été brisée par une administration inhumaine.

Je vous résume ici une affaire douloureuse qui commença réellement il y a 10 ans, mais surtout ses développements récents, marqués par une nouvelle séparation barbare contre laquelle je m’insurge.


MON ENFANT RAFLÉ À LA CRÈCHE, ET MALHEUREUX.

Depuis fin mai 2018, c’est mon petit garçon Leeroy qui m’a été violemment arraché par les services sociaux de Bordeaux, alors qu’il vivait heureux avec moi.

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Je ne l’ai revu qu’une seule fois depuis en avril 2019, 11 mois après qu’il ait été raflé à la crèche où je venais de l’emmener : l’enfant souriant et épanoui avait fait place à un gamin hébété, qui avait du mal à me reconnaître…

MALVERSATIONS ADMINISTRATIVES.
Les services sociaux bordelais et d’autres intervenants, ont commis des FAUX EN ÉCRITURES pour me faire retirer mon enfant, puis il l’ont raflé par surprise : ces méthodes relèvent clairement du CRIME ORGANISÉ.

UNE ADMINISTRATION QUI MENT.
Depuis fin mai 2018 les rares « nouvelles » que l’administration me donne de lui, sont elles-mêmes fausses, ce sont des inventions sans rapport avec la réalité. Pendant des mois, des emails anonymes me prétendent que mon enfant se porterait parfaitement… Puis en janvier 2020 on m’informe brusquement qu’il était gravement malade depuis des mois, et qu’il va subir une opération chirurgicale en février 2020 ! Pourquoi m’avait-on tout caché ?

Je n’ai aucun référent officiel qui serait en contact régulier avec mon petit garçon. Le lieu même du placement est secret, et l’ASE de Bordeaux m’a parfois induite en erreur au sujet de ce lieu.
En janvier 2020, j’ai appris fortuitement que mon enfant serait à Podensac, mais les informations sont contradictoires : selon une source Leeroy serait dans une famille d’accueil, et selon une autre source il serait dans un foyer dobt le directeur ne veut pas donner son nom…

UN ENFANT MIS AU SECRET COMME UN TERRORISTE.
Cet anonymat est généralisé, autour de mon petit garçon.

Il ne s’agit donc plus d’un “placement”, il s’agit d’une sorte de détention privée, que l’on épargne même aux terroristes- mais pas à un petit enfant qui a eu 5 ans en janvier 2020.

UN ENFANT MALADE ET MALTRAITÉ.
Par contre des documents médicaux authentiques me sont parvenus, qui prouvent que mon petit enfant n’est pas correctement soigné, et qu’ll est même gravement malade : je rapproche cela des maltraitances du foyer d’Eysines géré lui aussi par le Département de la Gironde,maltraitances qu’un reportage a révélées à la France entière en janvier 2019.
(Ci-dessous, cliquez pour voir la vidéo qui annonçait la diffusion du reportage : )

Un bilan psychomoteur m’est parvenu début 2019 : la psychomotricienne a observé un petit garçon angoissé, qui présente tous les signes de maltraitances et d’absence de soins médicaux.

Mon enfant semble bien être entre les mains de bourreaux anonymes…

L’OMERTA AUTOUR D’UNE AFFAIRE CRIMINELLE.
J’essaie de dénoncer ces choses depuis des mois auprès des services sociaux, de la police et de la Justice, mais pour eux tout serait “normal” : ils n’ont pas envie de créer un scandale local qui dérangerait des personnes criminelles mais puissantes – je suis une simple citoyenne, pauvre, mère de cinq enfants métis, donc je ne suis pas considérée comme l’égale de ceux qui m’ont arraché mon enfant par la fraude.
Venant de moi, les preuves les plus solides sont considérées comme des « délires »…

LES VRAIS MÉDECINS SONT DE MON CÔTÉ.
Certaines de mes preuves sont pourtant des attestations médicales .
De plus, un psychiatre éminent a démenti que je “délirerais” : au lieu de l’écouter, la Justice bordelaise se réfère à une psychiatre dont le rapport d’expertise est un fauxprouvé – un faux qui fait fait trop bien l’affaire des services sociaux…

UN ENFANT DÉTENU, ARRACHÉ À SON BONHEUR
Depuis fin mai 2018 je ne sais pas ce que devient mon petit enfant : sa détresse est forcément épouvantable, j’ai presque honte de parler de la mienne…

Mon petit garçon ne sait pas pourquoi on l’a séparé brusquement de sa maman.
Il a été emmené brusquement hors de sa crèche, sans ses jouets, sans sa poussette, sans même que l’on me demande s’il avait des besoins alimentaires ou médicaux spécifiques…

== (Photo ci-dessus : Leeroy à la crèche.)

Je m’inquiète pour sa santé et pour sa vie, et je demande à toutes les personnes de bonne volonté de m’aider à faire connaître la vérité.

De nombreux rapports officiels dont celui de la Cour des Comptes en 2009, ont dénoncé les PLACEMENTS ABUSIFS : un véritable trafic d’enfants, lucratif pour les administrations locales, mais inhumain pour des dizaines de milliers de familles injustement brisées.

L’aide que je demande n’est donc pas seulement pour moi et pour mon petit garçon Leeroy : c’est aussi pour des dizaines de milliers de familles aujourd’hui victimes d’une injustice ce qui ne saurait durer davantage.

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2° PRÉSENTATIONS.
AVANT L’AFFAIRE BORDELAISE.

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UNE FAMILLE BANLIEUSARDE, AUX VALEURS MORALES TRADITIONNELLES.
Issue d’une famille d’origine alsacienne qui m’a transmis des valeurs traditionnelles, j’ai passé l’essentiel de ma vie jusqu’en septembre 2017 dans les banlieues populaires de la région parisienne : c’est un milieu “multiculturel”, et mes 5 enfants son métis.

Ils sont tous baptisés, et mon fils aîné est un policier intègre et humain, sincère dans son effort éducatif pour arracher la jeunesse des quartiers difficiles à la délinquance.

Trois enfants l’ont suivi, nés au début des années 2000 : le garçon Richy, puis les jumelles Celly et Stacy. Comme moi, il aiment les arts et en particulier la musique, que je les encourage à pratiquer.

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LE DESTIN BRISÉ DE MES ENFANTS.
Mais leur destin a été douloureux.

J’ai dû quitter leur père en 2009, après 15 ans d’une union qui fut longtemps heureuse : il devenait violent envers moi comme envers eux.

L’Aide Sociale à l’Enfance du Val-de-Marne les a alors placés : l’ASE m’avait raconté que c’était la seule solution pour protéger mes enfants de la violence de leur père, et j’avais dû m’y résigner, n’ayant d’ailleurs plus de domicile pour les accueillir.

J’essayais toutefois de m’entendre avec leur père quand c’était possible, pour épargner aux enfants les conséquences douloureuse d’un conflit entre leurs parents.

MES ENFANTS MALTRAITÉS DANS LES LIEUX D’ACCUEIL DE L’AIDE SOCIALE À L’ENFANCE.
Mais au cours de mes visites dans leurs foyers d’accueil de l’ASE du Val-de-Marne, j’ai constaté que mes enfants subissaient des violences beaucoup plus graves – Ritchy notamment, et plus encore Stacy qui avait été séparée de sa sœur jumelle Celly et qui subissait des viols : une expertise médico-légale fut d’ailleurs réalisée à l’hôpital de Créteil en 2012, mais on n’a pas pu, ou pas voulu m’en communiquer les résultats…

== (Ci-dessus : Celly, Ritchy et Stacy, peu avant la séparation des sœurs jumelles. Mes enfants avaient déjà perdu le sourire à cause des conditions de placement dans un foyer de l’ASE…)

UNE MAMAN ACTIVE, MAIS EN CONFLIT AVEC LES SERVICES SOCIAUX.
Bien entendu j’ai tout fait pour récupérer mes enfants afin de les rassembler puisqu’ils avaient été séparés, et de les soustraire à la violence en institution.

Mais les services sociaux se sont opposés à mes démarches qui ne visaient pourtant qu’à protéger mes enfants.

En effet, les services sociaux n’avaient pas apprécié que je dénonce les violences subies par les enfants au sein de certains foyers de l’ASE : en représailles, i rédigèrent sur moi des rapports négatifs qui me suivirent de département en département – à la recherche du logement qu’ils ne m’aidaient pas à obtenir, je voyageais, et j’ai recueilli ainsi le témoignage d’autres familles qui subissaient ailleurs le même genre de harcèlement administratif, et qui protestaient parfois par des actions publiques que je soutenais volontiers.

(Cliquez ci-dessous pour regarder la vidéo : )

https://1drv.ms/v/s!AuSJmqmCGJiKh3NkjXvT_5_Yf_uy

Sylvie devant le tribunal de Blois :
https://1drv.ms/v/s!AuSJmqmCGJiKh3NkjXvT_5_Yf_uy

(Ci-dessus : extrait d’ interview de Sylvie Heffinger en 2016, à l’occasion d’une petite manifestation de parents qu’elle soutenait devant le tribunal de Blois.)
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LUTTES ET FRATERNITÉ DANS LES BANLIEUES.
La vie des banlieues populaires m’avait habituée à la solidarité face à l’injustice.

Femme handicapée autonome, j’avais appris auparavant le dévouement, en travaillant dans les hôpitaux, et en exerçant le métier d’Aide à Domicile diplômée de la Croix-Rouge.

Il est arrivé aussi que des équipes de reportage fassent appel à moi pour les guider dans les banlieues populaires réputées difficiles, mais où existe aussi une riche vie culturelle.

UN PETIT GARÇON EXPLOSIF, MAIS AFFECTUEUX.
En 2015 naquit mon petit garçon Leeroy, un petit métis plein de joie de vivre, excessivement actif, explosif même, mais très affectueux : j’étais résolue à le rendre heureux, et à le faire échapper au triste destin de trois de ses frère et sœurs victimes de l’ASE.

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CONTACTS SECRETS AVEC MES AUTRES ENFANTS.
Ces autres enfants, je parvenais parfois à les voir en cachette : les manœuvres de l’ASE m’en avaient fait retirer la garde dès 2012, au moyen de dénonciations calomnieuses qui n’étaient qu’un pur délire.

J’avais théoriquement encore l’autorité parentale, mais ce n’était qu’une pure forme.

UNE ADMINISTRATION QUI S’ACCORDE TOUS LES DROITS, QUI DÉPORTE UN ENFANT ET FAIT INTERNER UNE MAMAN.
L’Aide Sociale à l’Enfance prenait n’importe quelle décision concernant mes enfants sans daigner m’en informer.

Mon fils Ritchy fut arbitrairement déplacé dans un lieu d’accueil en Provence, à 800 kilomètres de sa famille parisienne, et c’est gravement malade qu’il en revint après plusieurs mois.

Ayant voulu faire constater un jour le triste état de Ritchy par un hôpital, j’y ai été accueillie avec lui par un véritable guet-apens dont la direction de l’hôpital n’était probablement pas au courant, et je fus emmenée de force dans un hôpital psychiatrique parisien pour y être internée.

ISSUE HEUREUSE DE. MON INTERNEMENT. ABUSIF.
Par chance, une psychiatre compétente qui se demandait ce que je pouvais bien faire là, me fit passer 9 jours d’examens poussés qui conclurent à ma bonne santé mentale, et elle intervint auprès des autorités pour me faire libérer de cet internement abusif dont je n’ai jamais eu l’explication.

MA FILLE STACY VICTIME DES BARBARES.
À la même époque, ma fille Stacy qui était séparée de sa jumelle, subissait des médications abusives : on la droguait avec du Risperdal, produit dont la dangerosité notamment sur des enfants est pourtant dénoncée par des médecins compétents.

== (Ci-dessus ma fille Stacy au début de la décennie, sous l’effet de médication abusive que lui imposait l’aide sociale à l’enfance.)

Manifestement, les services sociaux voulaient faire perdre la mémoire à Stacy, pour qu’elle cesse de dénoncer les viols dont elle était victime.

DES MÉDECINS INTÈGRES QUI VEULENT PROTÉGER LES ENFANTS.
Certains médecins dont un professeur, ont tenté de venir en aide à mes enfants pour les soustraire à cet enfer, mais ils se heurtèrent à des obstacles administratifs insurmontables.

LE PÈRE DE MES ENFANTS TÉMOIGNE EN MA FAVEUR.
En 2016 mon ex-compagnon acceota de témoigner, à la sortie du tribunal de Créteil. Il ne comprenait pas pourquoi Stacy était si mal traitée, et pourquoi la Justice ne me laissait pas voir mes enfants : -« Sylvie, c’est une bonne mère… Quand je vois ma fille Stacy, j’ai mal… »

( Cliquez ci-dessous pour regarder la vidéo : )

MA FILLE STACY, TOUJOURS VICTIME DE L’ASE. MAIS JE ME BATS !
Une femme policier libéra un jour Stacy, de sa propre initiative, mais l’Aide Sociale à l’Enfance remit la main sur ma fille.

Ce ne fut qu’en 2016 que les services sociaux arrêtèrent de médiquer abusivement ma fille Stacy : j’avais déposé une plainte contre ceux qui lui avaient imposé leur poison en se passant de mon autorisation.

== (Ci-dessus : Stacy à 16 ans : un beau regard, mais où se lit un passé douloureux…)

VOYAGES À LA RECHERCHE D’UN LOGEMENT POUR MON BÉBÉ ET MOI.
RIEN ne pouvait pourtant m’être reproché, et j’ai su m’occuper parfaitement de mon petit Leeroy quand il naquit en janvier 2015 à Nancy – “non sans mérite”, me dirent souvent les médecins spécialistes qui suivaient la santé de mon petit garçon : hyperactif comme toute la fratrie à son âge, il mettait à rude épreuve sa maman handicapée…

À Nancy, mes rapports avec les services sociaux furent corrects.

UN BON PSY ME SOUTIENT DANS L’ÉPREUVE
En Essonne, l’intervention d’un psychiatre éminent fit classer sans suite une enquête sociale dont je faisais l’objet.
il m’avait suivie pendant 2 ans pour m’aider à supporter ma séparation d’avec mes autres enfants.
Il fallait que je reste forte, afin de leur venir en aide autant que possible.

LA GALÈRE CONTINUE POUR LEEROY ET MOI… MAIS JE TIENS LA BARRE ! LEEROY ET SA GRZNDE SŒUR.
Or je n’avais toujours pas trouvé de logement acceptable pour mon bébé Leeroy et moi, et je continuai à voyager pour en trouver un.

Malgré cela, Leeroy était heureux et il éclatait de santé : ma vie était devenue précaire, mais lui ne fut jamais privé de rien, et je le fis toujours suivre par des médecins.

(Cliquez ci-dessous pour regarder la vidéo montrant Leeroy avec sa sœur Stacy : )

Leeroy avec sa sœur Stacy :
https://1drv.ms/v/s!AuSJmqmCGJiKh01x586AkkkjfXGo

https://app.box.com/s/t87b6rci6tli06iwm65hx3qxol3dz6fu

== (Ci-dessus : vidéo. Leeroy avec sa sœur Stacy. On entends aussi la voix de sa maman.)

HOSTILITÉ SDES SERVICES SOCIAUX DU LOIR-ET-CHER. UNE MAMAN EN LUTTE CONTRE DES INSTITUTIONS MALTRAITANTES.
Pourtant, aux yeux des services sociaux du Loir-et-Cher et de la région parisienne, j’avais un “tort” : ne pas accepter l’omerta qui pèse sur les PLACEMENTS ABUSIFS et sur les maltraitances envers des enfants en institutions.

Des milliers de familles sont aujourd’hui brisées par les placements abusifs, et je co-organisais volontiers des réunions et des manifestations avec les familles qui résistaient contre l’inacceptable.

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LES FAMILLES VULNÉRABLES, VICTIMES D’UNE ADMINISTRATION PRÉDATRICE ET INTÉRESSÉE.
Les employés de l’A.S.E. et les associations qui oublient leur mission de service public et ne voient les enfants que comme une marchandise à vendre, cherchent volontiers leurs victimes parmi des parents chômeurs ou handicapés, élevant seuls leurs enfants, souvent étrangers – ou métis comme Leeroy : ces familles sont faciles à briser, les prétextes ne manquent pas pour leur voler leurs enfants qui rapporteront chacun 7500 euros mensuels à l’ASE (et ce n’est pas tout…)

MA PRÉCARITÉ ORGANISÉE DANS DES BUREAUX.
Les services sociaux m’ont laissée m’enfoncer dans la misère, rester longtemps sans logement et sans allocation de handicapée : au prix de nombreuses privations, je fis de Leeroy un petit enfant rayonnant de joie – même si j’aspirais à un logement qui lui permette de jouir d’un peu plus d’espace pour déployer son énergie débordante !

UN ENFANT ÉPANOUI AVEC MOI, COMME À LA CRÈCHE. UN ENREGISTREMENT BIEN « GÊNANT » POUR L’ADMINISTRATION…
Peu avant de m’être retiré, le gamin avait tendance à se calmer : sa jeune intelligence était attirée par les jeux de construction où il excellait.

Leeroy à Talence :

( Cliquez ci-dessous pour regarder la vidéo : )

https://1drv.ms/v/s!AuSJmqmCGJiKiAK4Y7i8oXnm9ydp

https://app.box.com/s/k9kmgwnzcbig0s8l8papjwepod1waaqq

== (Ci-dessus, Vidéo : Leeroy en train de jouer tranquillement, quelques jours avant d’être raflé à la crèche. On entend les encouragements de sa maman. Au même moment, les services sociaux de Bordeaux inventaient une rumeur selon laquelle l’enfant était « détresse » auprès de sa mère…)

Leeroy ne s’était pas trop pressé pour apprendre à parler, mais il se mit à nous surprendre par l’à-propos des jolies phrases qu’il commençait à former, et qu’il remplissait par beaucoup de noms d’aliments ou d’animaux qui faisaient de lui une petite encyclopédie vivante…

Très fort pour son âge, il restait cependant d’une grande gentillesse envers ses petits camarades de la crèche, consolant les uns qui pleuraient parce que leur maman était partie, offrant aux autres quelques petits chocolats qu’il soustrayait à sa propre gourmandise…

(En cliquant ci-dessous, vous pourrez écouter un enregistrement AUDIO où Jean-Michel Bessou interroge la puéricultrice de Leeroy à sa crèche bordelaise : ce document est un démenti cinglant aux mensonges des services sociaux, tels que l’on peut les lire par exemple dans les comptes-rendus d’audience… )

Leeroy à la crèche, début 2018 (février ?) :
https://1drv.ms/u/s!AuSJmqmCGJiKh1DFU7ZM7kdt_vyI

https://app.box.com/s/protn0bd8rjq4fhccu4ek6es31vi6u8s

Autre enregistrement à la crèche :
https://1drv.ms/u/s!AuSJmqmCGJiKiAZMSORM3g4q7Y4k

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UN DANGER POUR LEEROY, MENACÉ PAR LES ADMINISTRATIONS DU LOIR-ET-CHER :
Mais le bonheur familial n’attendrit pas les fonctionnaires des services sociaux : me reprochant une “errance” qui n’était en réalité qu’une recherche de logement résultant de leur inaction, m’inputant une précarité qu’ils avaient eux-mêmes provoquée, ils projetaient de m’arracher Leeroy sous ces prétextes !

J’avais reproché vivement aux services sociaux de Loir-et-Cher, de n’avoir pas fait rétablir rapidement la pension de handicapée dont je fus privée pendant 2 ans : en représailles, au lieu de m’aider ils firent un signalement à mon encontre.

Je quittai alors le Loir-et-Cher pour la région parisienne, mais ce fut une juge de Nanterre qui me convoqua pour fin décembre 2017, avec mon enfant : le piège était tendu, elle allait me prendre mon enfant !

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3° ÉVASION À BORDEAUX À BORDEAUX AVEC LEEROY QUI Y SERA ENLEVÉ.

Je fis échouer cette tentative de “rapt administratif” en déménageant à Bordeaux fin septembre 2017 : monsieur Bessou qui est un sympathisant dévoué, m’offrit l’hospitalité avec mon petit garçon Leeroy.

LEEROY ET LA MUSIQUE.
Leeroy adorait « tonton Jean-Mi », qui est musicien : Leeroy est très sensible à la musique, et quelques notes de piano ou de guitare jouées par Jean-Michel suffisaient à faire danser mon petit garçon.

Quand Jean-Michel nous jouait parfois au piano le prélude de Bach dont Gounod a tiré l’accompagnement de son Ave Maria , Leeroy s’invitait volontiers sur le clavier pour y ajouter des notes de sa façon…

Aussi lui ai-je offert un petit clavier, en attendant qu’il puisse suivre les traces de l’artiste !
Ses jeunes doigts auraient bientôt la force nécessaire pour enfoncer les touches d’un piano, mais Jean-Michel pensait qu’en attendant, il valait mieux le faire jouer sur un instrument plus respectueux de ses petites articulations.

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Lui-même avait contracté autrefois des tendinites de pianiste qui lui avaient laissé un léger handicap à la main : il suivait une rééducation, dans la perspective de faire de la scène.

Moi, je venais de la banlieue populaire parisienne où toutes les cultures se mélangeaient, et je fis connaître la kora à Jean-Michel : musicien classique, il appréciait la délicatesse de cet instrument africain aux cordes nombreuses et à la sonorité douce.

UN PETIT ENFANT QUI SE CONSTRUIT.
Si l’appartement était petit, nous savions y ménager pour Leeroy un environnement agréable, et ce petit garçon dynamique se posait volontiers en emboîtant les cubes multicolores de ses jeux de construction.

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Il arriva souvent à tonton Jean-Mi de faire ses répétitions de guitare dans un hall glacé, pour ne pas empêcher le petit garçon de dormir.

Je ne savais pas encore que quelques mois plus tard, Jean-Michel écrirait une Chanson pour Leeroy, inspirée des rythmes favoris de mon petit garçon.
Ses paroles à la teneur un peu mystique et gentiment « engagée », résumeraient aussi l’essentiel de l’affaire que ce site veut vous raconter.

(En cliquant sur le lien qui suit, vous pourrez écouter la chanson : Jean-Michel s’accompagne à la guitare.)

https://leeroyadisparu.wordpress.com/wp-content/uploads/2020/02/wp-1582090545520.mp4

Chanson pour Leeroy :
https://1drv.ms/u/s!AuSJmqmCGJiKiAWl5rGF07UPFHCf

https://app.box.com/s/esup5dr0r6k438banv1adck1o81kztx5

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Mais revenons fin 2017.

Depuis Bordeaux à je pus faire dessaisir la juge de Nanterre, de mon dossier social.

UNE ENQÙÊTE SOCIALE OUVERTE À BORDEAUX, SUR LEEROY ET MOI.
Mais à Bordeaux, une autre juge des enfants lança une nouvelle enquête sociale, enquête qui représentait cependant un espoir pour moi : je pensais prouver que je suis bonne mère, et conserver donc la garde d’un enfant hyper-actif mais affectueux et attachant, débordant de joie de vivre en dépit d’un hébergement précaire dans un appartement minuscule…

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Répondant à quatre critères de priorité pour l’attribution d’un logement convenable, je pensais trouver celui-ci rapidement : mon assistante sociale bordelaise s’y était engagée.

Mais elle travaillait pour l’ASE locale : j’allais voir à mes dépens que cette administration était plus motivée pour me prendre mon enfant à des fins lucratives, que pour m’aider…

LEEROY ÉPANOUI À LA CRÈCHE, ET SUIVI PAR DE BONS MÉDECINS.
Mon petit garçon Leeroy fréquenta la crèche dès le mois de novembre 2017, et il vécut fort bien cette socialisation nouvelle pour lui : sa puéricultrice principale me faisait des comptes-rendus positifs sur son épanouissement.

Je faisais également suivre mon petit enfant par plusieurs médecins, bons spécialistes de l’enfance.( Partenaires des services sociaux, ils ne furent cependant pas complices de leurs manigances.)

L’ENQUÊTE SOCIALE À BORDEAUX : DES RAPPORTS INJUSTES, RÉDIGÉS À CHARGE CONTRE UNE MAMAN REBELLE.
La juge bordelaise avait demandé la constitution d’un dossier d’enquête sociale, que devaient lui remettre divers intervenants : les services sociaux, une psychiatre chargée de réaliser une expertise sur moi, une association…

Seraient interrogés aussi, automatiquement, les médecins et le personnel de la crèche.

Mais les principaux auteurs du rapport que la juge avait demandé, s’entendirent pour m’accabler injustement : ma liberté de ton héritée des banlieues populaires parisiennes, ma dignité face au handicap et aux difficultés de tous ordres, mon refus des compromis avec l’ASE qui laissait mes enfants dépérir dans les foyers du Val-de-Marne, ma culture métissée, rien de tout cela sans doute ne leur plaisait…

MALVERSATIONS DE FONCTIONNAIRES.
Mon assistante sociale sabota mes demandes de logement : je ne l’appris que 6 mois après, au printemps 2018, mais ni la juge des enfants ni le Conseil Départemental de la Gironde ne retirèrent leur confiance à cette fonctionnaire.

L’assistante sociale était montée à l’improviste chez monsieur Bessou, sous prétexte qu’elle croyait que Leeroy était maltraité – « des voisins » prétendait-elle, auraient cru entendre quelque chose…
Ah bon ? Ce n’est pas la police que l’on appelle dans un cas comme celui-là ? Je suis sceptique quant aux dires de cette personne…

L’assistante sociale a bien consigné dans son rapport à la juge, qu’elle était venue parce qu’elle croyait que Leeroy était maltraité.
UNE FONCTIONNAIRE COMMET UN FAUX EN ÉCRITURES.
En revanche elle a délibérément omis de préciser qu’elle avait trouvé sur place un enfant heureux et souriant, qui n’avait jamais pris le moindre coup !

Par cette omission qui fait de son rapport un FAUX, elle a fait croire à la Justice que Leeroy aurait été véritablement maltraité…

LE RAPPORT INCOHÉRENT D’UNE PSYCHIATRE.
La psychiatre mandatée par la juge reconnut certes que j’étais “calme, sans trouble du comportement” et que je “maîtrisais mon enfant avec patience”, mais pourtant à la fin de son expertise incohérente elle recommandait que l’on retire la garde de Leeroy !

LES TRAVAILLEURS SOCIAUX ÉCARTENT LES MÉDECINS !Les médecins m’étaient tousfavorables : pour leur cacher leurs manigances, les services sociaux ne les invitèrent pas à une réunion de synthèse où il était question de mon enfant et de moi, et il les exclurent frauduleusement du rapport d’enquête sociale remis à la juge !

UNE ASSOCIATION ÉMET UN « DIAGNOSTIC… SANS MÉDECIN !
Mais pour que cette absence des médecins ne soit pas trop visible dans le rapport d’enquête sociale remis à la juge, l’association se substitua aux médecins et rendit à leur place un FAUX DIAGNOSTIC “MÉDICAL” sans même avoir examiné Leeroy, en utilisant un langage habile dans son rapport afin de faire croire que des médecins s’étaient pourtant prononcés…

UN « DANGER » INVENTÉ PAR LES SERVICES SOCIAUX POUR TROMPER UNE JUGE.
Les services sociaux et l’association inventèrent aussi un mystérieux “danger” non précisé, censé menacer mon petit garçon : intoxiquée par cette RUMEUR qui lui été communiquée le 25 mai 2018, la juge signa une Ordonnance de Placement Provisoire “en urgence” le 29 mai.

UNE RAFLE D’ENFANT.
Le 30 mai 2018, des travailleurs sociaux munis de l’ Ordonnance signée par la juge, se présentèrent à la crèche où je venais d’amener Leeroy, et en retirèrent l’enfant.

Ils n’ont demandé, ni quelles étaient les habitudes alimentaires de Leeroy, ni quels étaient ses besoins médicaux…

Rédigée à la hâte et sous la pression des prédateurs d’enfants, l’Ordonnance judiciaire était caduque en sa forme : dépourvue de tampon, de nom de greffier, d’avis du Procureur, c’était un faux ou quasiment…

UNE DÉCISION DE JUSTICE BASÉE SUR DES FAUX : LE COUP MONTÉ A RÉUSSI.
Discutable quant à la forme, l’Ordonnance était inacceptable sur le fond : la juge ne s’appuyait que sur un rapport d’enquête exclusivement constitué de FAUX.

Le retrait de Leeroy hors sa crèche était bien un RAPT, au moins dans l’intention de ceux qui avaient trompé la Justice.

Les travailleurs sociaux et l’association avaient réussi leur coup ! : le lendemain 31 mai, aurait dû avoir lieu un examen pédiatrique qui aurait attesté que Leeroy progressait en tout, et que je l’élevait bien.

Mais ceux qui voulaient m’arracher mon enfant le savaient : c’était cet examen, le fameux “danger” redouté par l’A.S.E. locale et par l’association !
Grâce à un rapport alarmiste digne d’une propagande vichyste, ils avaient empêché cet examen pédiatrique qui aurait ruiné leurs espérances de gagner beaucoup d’argent avec le placement de mon petit garçon !

Et la preuve qu’il ne s’agit pas d’un hasard, c’est qu’ils n’emmenèrent pas l’enfant chez le pédiatre le lendemain 31 mai : si les maltraitances qu’ils avaient habilement suggérées dans leurs rapports avait existé, ils auraient pu ainsi les faire constater , par un médecin pédiatre qui était leur partenaire et qui connaissait bien Leeroy !

Ils ne firent évidemment pas l’erreur d’emmener mon garçon chez un médecin qui m’aurait forcément soutenue, et depuis lors ils détiennent mon petit enfant dans un lieu secret, lieu qui change parfois sans que j’en sois prévenue…

LA DÉTRESSE, ET LE COMBAT.
Cette situation inhumaine a plongé une mère, et son enfant forcément, dans une détresse indicible…

Mais malgré cela je ne renonce pas à me battre pour retrouver mon petit enfant Leeroy.

= (Ci-dessus Sylvie Heffinger et jean-michel Bessou sur les marches du palais de Justice de Bordeaux. C’est là que fut jugé le collabo Maurice Papon : comme certains travailleurs sociaux de l’ASE aujourd’hui, il se croyait trop puissant pour tomber : on a vu la suite…
La comparaison n’est pas abusive : les soustractions d’enfants par l’aide sociale à l’enfance ressemblent souvent à des rafles, et le reportage de FR3 en janvier 2019 révéla à la France entière les violences y compris SEXUELLES, subies par des enfants dans le foyer d’Eysines géré par le président du conseil départemental de la Gironde – personnage qui est aussi l’adversaire de Sylvie dans l’Affaire Leeroy…)

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4° PAS DE NOUVELLES DE L’ENFANT : ON EST FONDÉ À CROIRE QU’IL EST AUX MAINS D’UN GROUPE SECTAIRE.

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(Ce chapitre rend compte de la situation telle qu’elle était en avril 2019, et peu après. Vous lirez plus pas comment elle a évolué depuis.)

Trois jugements se succédèrent : celui du 29 mai 2018 dont nous avons vu les effets, celui du 13 juin auquel j’ai fait appel. et celui du 10 octobre, tous prononcés par le tribunal de Bordeaux.

LES PROCÉDURES D’ASSISTANCE ÉDUCATIVES SONT TRUQUÉES EN DÉFAVEUR DES PARENTS.
Les conditions n’étaient pas réunies pour que je puisse présenter correctement ma défense au cours de l’audience réputée “contradictoire” du 13 juin.
Je n’avais d’ailleurs pas pu consulter à nouveau mon dossier – l’aurais-je pu, que je n’aurais disposé que de VINGT MINUTES pour cela. Et si un avocat avait eu le dossier en main, il n’aurait pas eu le droit de m’en donner copie.

Ce que je viens d’expliquer est un ABUS manifeste, pourtant établi par le Code de Procédure Civile : cet article empêche les parents de savoir de quoi ils sont accusé, ce qui est violemment CONTRAIRE À LA CONSTITUTION.
En matière d’ASSISTANCE ÉDUCATIVE la Justice se prête donc à des PROCÉDURES TRUQUÉES, véritables MASCARADES où les parents ne peuvent pas se défendre contre les accusations mensongères portées par la PÈGRE.

UNE MASCARADE JUDICIAIRE : COMMENT LE JUGE DES ENFANTS FUT MANIPULÉ PAR L’ASE… ET MOI AUSSI !

En réalité le contradictoire ne fut absolument pas respecté, et l’audience fut une mascarade :
je n’avais pas d’avocat, car ceux que j’avais sollicités n’osaient pas critiquer les malversations de l’ASE ;
on ne m’avait accordé qu’une demi-heure pour examiner mon dossier au tribunal le 15 mai ;
l’ASE se fit représenter par un avocat qui en ignorait les malversations ;
l’association fut représentée par un personnage qui ne daigna pas décliner son nom ;
le juge à qui je demandai où était mon enfant, croyait semble-t-il qu’il y avait des rencontres, et mes adversaires ne le détrompèrent pas !

Ne trouvant pas les mots pour le faire tant j’étais interloquée, je tombai dans leur piège en quittant de la salle immédiatement, car je croyais qu’il se moquait de moi…

Il est vrai que le juge m’avait surprise en me reprochant d’emblée mes rapports conflictuels avec l’ASE du Val-de-Marne : c’est-à-dire qu’il me reprochait d’être une bonne mère, soucieuse du bien-être de mes enfants que l’ASE du Val-de-Marne maltraitait.
Mais bien évidemment, l’ASE du bourreaux du Val-de-Marne avait une autre version des faits…

J’avais donc quitté la salle, sous le coup d’une émotion trop forte pour élaborer des arguments et me défendre.
Le juge n’avait plus devant lui, que mes adversaires : aucun travailleur social de l’ASE n’était là pour le détromper, mais l’avocat de l’ASE dût répéter comme un perroquet le discours de haine constituant les rapports de mes adversaires.

Le juge me sanctionna durement, ainsi que toute notre famille dont aucun membre n’avait désormais le droit de voir mon petit garçon !

Rien n’étant spécialement reproché à notre famille qui comporte actuellement un militaire et un policier, j’imagine difficilement les suggestions haineuses utilisées par mes adversaires pour pousser un juge à rendre une décision contraire à tous les Droits reconnus aux Citoyens comme aux enfants…

(Note de mars 2020 : dans le cadre d’une plainte contre l’ASE pour enlèvement en bande organisée sur mineur j’ai l’intention de citer le juge comme témoin. Il confirmeta ce que je viens d’écrire au sujet de l’omission coupable de l’ASE…)

UNE AUDIENCE EN APPEL : LES MALVERSATIONS DE MES ADVERSAIRES SONT DÉLUBÉRÉMENT IGNORÉES.

Je fis appel, et une audience eut lieu le 12 septembre 2018.

Les arguments solides que j’exprimai au cours du procès en appel ne furent pas écoutés : dans le compte-rendu du jugement qui fut prononcé le 10 octobre, il fut bien question de ma souffrance que certes j’avais exprimée calmement, mais aucune allusion ne fut faite aux malversations et aux faux que j’avais dénoncés !

C’était pourtant grave :

– une psychiatre avait commis une fausse expertise afin de me faire passer pour folle. Elle avait notamment MENTI en prétendant qu’un de ses confrères parisien me trouvait « délirante » – ce qu’il démentit par écrit, mais re ne reçus son attestation que le lendemain de l’audience.
– Une assistante sociale avait fait croire que je maltraitais Leeroy, malgré les preuves du contraire.
– Une association avait porté sur Leeroy un faux diagnostic, sans avoir les qualifications médicales requises.
– Les services sociaux me prétendaient « en errance », alors qu’en réalité je cherchais un logement auquel une magouille de leur assistante sociale mnavait barré l’accès !

TROIS DÉCISIONS DE JYSTICE INHUMAINES, BRISANT UNE FAMILLE. ET L’ASE NE RESPECTE PAS LA LOI
Les trois décisions reposent sur le dossier truqué

que nous venons d’évoquer, et me séparent implacablement de mon enfant, sans même prévoir de contact entre mon petit garçon Leeroy et ses frères et sœurs !

Le premier et le troisième jugements prévoyaient tout de même des visites régulières de la mère à l’enfant, et le second jugement confiait l’enfant au Département de la Gironde qui depuis est censé m’en donner régulièrement des nouvelles : AUCUNE NOUVELLE RÉELLE DE LEEROY NE M’A ÉTÉ DONNÉE DEPUIS LE 30 MAI 2018.

ET AUCUNE RENCONTRE N’A ÉTÉ ORGANISÉE, pas même après le jugement du 10 octobre 2018 qui me concédait une heure de rencontre par mois.

Cela dura jusqu’en avril 2019, et ne changea guère après cela.

RENCONTRE AVEC LEEROY EN AVRIL 2019: MON ENFANT VICTIME D’UN LAVAGE DE CERVEAU.
Une première rencontre d’une heure prévue pour début avril 2019, près de 6 mois donc après la décision du 10 octobre, a été remise à plus tard, cruellement, sous un prétexte dérisoire : un nouveau calendrier de rencontres a été établi, mais je restais à la merci d’une annulation de dernière minute…
(Tout ceci est écrit début avril 2019 : voir la mise à jour du chapitre 5.)

Ces malversations, cette cruauté, c’est bien ce que subissent des dizaines de milliers de familles aujourd’hui en France.

DES COURRIELS ANONYMES : LE CORBEAU DU DÉPARTEMENT, ET SON DISCOURS IRRATIONNEL
En guise de “nouvelles”, le Conseil Départemental ne m’envoie que des COURRIELS ANONYMES qui contre toute vraisemblance ne disent jamais que le petit garçon réclame sa maman, et de rares photos peu convaincantes où le gamin probablement endormi par des cachets a tout perdu de son exubérance naturelle…

Chacun de ces courriers est écrit par un “corbeau” qui cache son nom, et qui précise bien – je cite – qu’ “IL NE S’AGIT PAS D’UN DOCUMENT OFFICIEL”, et que cela “N’ENGAGE PAS LA RESPONSABILITÉ DU CONSEIL DÉPARTEMENTAL”.

Ce torche-cul ahurissant ajoute que “SA DIFFUSION EST INTERDITE” !

“Interdite” par QUI ?

Par le Conseil Départemental ? Non, puisqu’il n’engage pas sa responsabilité.

Qu’est-ce que c’est que ce discours de FOU ? Serait-ce une SECTE qui s’exprimerait pour m’imposer l’OMERTA ?

UNE SIGNATURE, MAIS DES COURRIELS TOUJOURS ANONYMES MALGRÉ CELA…
Depuis janvier 2019 il y a une signature dans ces rares courriels : celle d’une employée du Conseil Départemental, mais cette femme me dit pourtant ne pas rencontrer Leeroy….

Alors comment peut-elle me donner des nouvelles de mon petit garçon ?

Elle me prétend que les pseudo “nouvelles” qu’elle me transmet viendraient « du service gardien de l’enfant » : or or ce service gardien a changé, et malgré cela les “nouvelles” souvent invraisemblables qu’il est censé m’envoyer sont rédigées dans le même style et dans la même présentation.

Elles ont donc le même auteur, ces “nouvelles” : mais alors qui les invente ?

LE DÉPARTEMENT ENVOIE AU SUJET DE LEEROY, DES INFORMATIONS NON VÉRIFIÉES… OU INVENTÉES PAR UNE AUTORITÉ OFFICIEUSE ?
Quand je téléphone au Conseil Départemental de la Gironde pour demander si le Département envoie quelqu’un sur le lieu de détention secret afin de vérifier si mon petit Leeroy se porte bien, on me répond : ” non, nous n’ en avons pas le droit ” !

C’est absurde, vu que c’est précisément au Département que le juge a confié la responsabilité de Leeroy !

Y a-t-il une AUTORITÉ OFFICIEUSE qui serait supérieure à la loi, contraire à une décision de Justice, et qui empêcherait le Département d’exercer son droit de regard ?

EST-CE UNE SECTE ?

Le Département de la Gironde m’a laissé croire début janvier 2019, que l’enfant était toujours aux mains du service gardien décidé par la Justice, mais le service gardien l’a démenti aussitôt : c’est extrêmement grave, car outre que mon enfant m’a été arraché exclusivement grâce à des faux, on peut dire maintenant qu’il est détenu hors de tout cadre légal !

À moins que l’association dont je parle, ne soit pas le servive gardien ? Mais alors, de quel droit a-t-elle été informée en temps réel, du placement de mon enfant ?

UNE AUTORITÉ OFFICIEUSE AU-DESSUS DES LOIS ?
Comment se fait-il que la police qui a été prévenue de cette situation, n’ait pas immédiatement procédé à l’interpellation de la responsable du conseil départemental, ou au moins à son audition pour qu’elle s’explique ?

UN DOSSIER INACCESSIBLE, AU CONTENU INSENSÉ.
Et comment se fait-il que l’actuel juge des enfants refuse de communiquer le dossier de l’affaire, même à un avocat qui le lui avait légitimement demandé ? (Situation constatée à la mi-avril 2019, et qui dure depuis décembre 2018. En décembre 2019 un avocat vit le dossier : on y trouvait notamment une lettre anonyme malveillante écrite par un internaute écrivant dand le pur style des ordures qui dénonçairnt les Juifs sous l’Occupation, des tracts n’ayznt rien à faire dans un dossier d’assistance éducative, etc)

Serait-ce parce que les malversations que révèle ce dossier sont très visibles, surtout depuis qu’elles ont été démontrées par le dossier public que j’ai constitué avec l’aide de monsieur Bessou ?
Je n’en sais rien, mais la question est permise puisque l’illégalité ne vient pas de moi.

UN BON ACCUEIL, DE LA PART DÉLÉGUÉ DU DÉFENSEUR DES DROITS.
Le Délégué du Défenseur des Droits en Gironde m’a reçue avec bienveillance.

Très humain, il comprend la détresse des mamans qui souvent ne savent même pas où leurs enfants se trouvent.

Légitimement sceptique au début, vu l’étonnante somme d’illégalités dont découle la séparation douloureuse entre mon enfant Leeroy et moi, le Délégué a bien dû se rendre à l’évidence en consultant le dossier de preuves qui lui a été remis.

Mais il n’est pas arrivé à faire mouvoir la Justice, le procureur n’ayant rien voulu savoir….

TOUJOURS COMBATTRE POUR RÉTABLIR LE BON DROIT.
Je poursuivrai mes efforts dans ce sens, car toute cette affaire est absolument contraire au Droit, et elle viole tous les Droits reconnus aux Citoyens et aux Enfants.

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5° PREMIÈRE ET UNIQUE RENCONTRE LE 18 AVRIL 2019 AVEC UN ENFANT QUI A SUBI UN LAVAGE DE CERVEAU (<

< Après plus de 10 mois d’une séparation cruelle et totalement illégale, j’ai pu revoir brièvement mon petit Leeroy, dans un point rencontre de l’ASE de Bordeaux..

< L’ASE NE SE PRESSE PAS POUR OBÉIR À LA JUSTICE QUI M’ACCORDE DES DROITS DÉRISOIRES ET IGNORE LA FAMILLE DE LEEROY…
Traînant le plus possible malgré mes protestations et les lettres d’une avocate, l’Aide Sociale à l’Enfance s’était arrangée pour qu’il s’écoule plus de 6 mois avant la rencontre, suite à la décision de Justice qui prétendait « renouer le lien familial » mais qui ne recommandait que des rencontres d’ UNE HEURE PAR MOIS – oui, un heure et une seule, quasiment rien…

< Et du reste de la famille, des 4 frères et soeurs de leeroy dont mon fils aîné qui est policier, de ses grands-parents, il n’est même pas question dans la décision de Justice…

< LE 18 AVRIL 2019 : UNE RENCONTRE SOUMISE À DES CONDITIONS ILLÉGALES.
Une rencontre se déroula le 18 avril 2019, et la date prévue initialement avait été reportée de deux semaines, sous un prétexte futile : en réalité, les services sociaux voulaient surtout me montrer que les rencontres entre mon enfant et moi dépendraient toujours de leur bon vouloir, indépendamment de la loi… -et d’ailleurs, au mépris des lois. La juge avait décidé que toute rencontre serait précédée d’un EXAMEN MÉDICAL réalisé PAR DES TRAVAILLEURS SOCIAUX : PAS PAR DES MÉDECINS.
Dans un État de Droit, cela suffirait à provoquer l’interpellation des travailleurs sociaux par la police, et la révocation de certains magistrats (mais ce n’est peut-être qu’une question de temps…)

< Arrivée dans le point rencontre, j’ai demandé si mon petit garçon n’avait pas été déçu en apprenant que la date avait été reportée : on me répondit avec désinvolture qu’ « un enfant n’a pas la notion du temps ».

< Vous noterez toute l’incompétence et tout le mépris de cette réponse, dite avec un sourire ironique par trois des travaileurs sociaux du Point Rencontre.

< Mon enfant était dans une pièce, avec deux travailleuses sociales et quelques jouets.

< L’une des deux femmes resta neutre, attitude correcte pour me laisser reprendre contact avec un enfant qui ne m’avait pas vue depuis plus de 10 mois.

< DES RETROUVAILLES RENDUES IMPOSSIBLES PAR UNE TRAVAILLEUSE SOCIALE.
L’autre femme par contre, retenait à elle mon petit garçon: elle le prenait entre ses genoux, lui caressait la tête avec une familiarité excessive, le distrayait avec ses jouets pour accaparer son attention.

< UN ENFANT MALTRAITÉ, ET VICTIME D’UN LAVAGE DE CERVEAU.
Leeroy avait très peu grandi, et il n’avait pas pris de poids : après plus de 10 mois cela m’a semblé anormal chez un enfant de cet âge, et je l’ai d’ailleurs trouvé maigre quand je l’ai pris dans mes bras.

< Son regard n’avait plus l’éclat joyeux que je lui connaissais.

< Mon enfant me reconnut à peine : au lieu de m’appeler « maman », il me donna le nom de sa grande sœur Stacy – « Titi », dans sa prononciation enfantine…

< Leeroy avec sa sœur Stacy :
https://1drv.ms/v/s!AuSJmqmCGJiKh01x586AkkkjfXGo

< https://app.box.com/s/t87b6rci6tli06iwm65hx3qxol3dz6fu

<

< = (Ci-dessus, Leeroy avec sa sœur Stacy et sa maman. Pourquoi l’ASE a-t-elle brisé cette famille ? Et pourquoi la Justice a-t-elle suivi l’ASE dans ses rapports marqués par une haine pathologique à l’encontre du bonheur des citoyens ?… )

< « Stacy »… Ce nom a cependant une connotation extrêmement agréable pour Leeroy : le gamin se souvenait de nos joies communes, mais il ne pouvait pas l’exprimer.

< Il sut me dire plusieurs fois : « Je vais à l’école, je fais du travail. » . Je crus tout d’abord qu’il me rendait compte de ce qu’il faisait, puis je compris la réalité : cette phrase, on la lui avait fait apprendre par cœur pour me tromper, et Leeroy n’allait probablement pas à l’école.

< J’avais porté un jeu éducatif, comme ceux dont Leeroy raffolait afin d’évaluer les capacités de mon enfant, mais aussi de lui rappeler la vie qu’il avait auprès de moi : la travailleuse sociale qui le retenait à elle m’en empêcha…

< LA TROMPERIE DES SERVICES SOCIAUX SE RÉVÈLE.
les quelques véritables nouvelles qui me parvinrent au sujet de la santé de Leeroy, me le présentaient comme un enfant agité et malade, il était donc inconcevable que mon petit garçon autrefois sudoué ait pu suivre réellement une scolarité régulière…

< Leeroy continuait à prononcer le nom de sa sœur de manière enfantine : ses gardiens ne lui ont donc jamais parlé de sa famille, puisqu’ils n’ont pas rectifié sa prononciation du nom de sa sœur…

< Quant à « faire du travail à l’école », cela contredisait deux données que j’avais.

< Premièrement, un bilan psychomoteur datant du mois de décembre de 2018 me présentait un enfant agité et angoissé – pas de ma faute, et maintenant c’est prouvé !

< En second lieu, les remarques récentes de certains travailleurs sociaux quant à cette « agitation » qu’ils considéraient comme insurmontable, et qui semblait incompatible avec une scolarisation aussi précoce.

< Mon petit garçon a dû apprendre par cœur une phrase sur l’école, conçue pour me rassurer…

< UN ENFANT SOUMIS À DES VIOLENCES PSYCHOLOGIQUES – AU MOINS…
Que déduire de tout cela ?

< Que pendant les 10 mois et demi où les services l’ont frauduleusement empêché de me voir, mon petit Leeroy a subi un lavage de cerveau.

< A-t-il été réprimé – peut-être par la faim, peut-être par des coups, je ne sais pas comment… – chaque fois qu’il a prononcé le mot « maman » ?

< DES TRAVAILLEURS SOCIAUX SOLIDAIRES AVEC CEUX QUI MALTRAITENT MIN ENFANT.
J’ai demandé aux travailleurs sociaux comment il se faisait que mon enfant naguère si attaché à moi, avait maintenant du mal à me reconnaître : ils me répondirent que l’enfant était « bien traité » là où il vivait, et qu’ils avaient « confiance en ses gardiens ».

< Mais ces travailleurs sociaux du Point Rencontre ne vont jamais voir l’enfant sur place pour vérifier personnellement comment il va…

< Moi, je n’ai pas confiance dans cette structure anonyme qui détient mon enfant, on ne sait où…

< D’ailleurs les gardiens de mon enfant ont changé, et nulle décision de Justice ne l’a pourtant attesté…

< Mon petit garçon est retenu dans les conditions manifestement sectaires.

< UNE ADMINISTRATION INHUMAINE. Toute cette affaire est marquée par une profonde inhumanité envers une maman et son enfant, frappés aujourd’hui par la plus douloureuse des séparations.

< Je suis reconnaissante d’avance à tous ceux qui, ne serait-ce qu’en parlant de cette affaire autour d’eux, voudront m’aider à faire valoir mes droits et ceux de mon petit garçon Leeroy qui souffre séparé de moi.

< Je vous salue avec espoir.

< Sylvie Heffinger.

< —==—

< (Vous trouverez une importante actualisation au chapitre 7°.)

< 6° LE PROCÈS DE LA HONTE : SYLVIE EST ATTAQUÉE EN JUSTICE PAR CEUX DONT ELLE EST LA VICTIME AVEC LEEROY !

UNE PROTESTATION LÉGITIME.
Victime des services sociaux de Bordeaux et d’une association qui lui ont fait arracher son petit garçon le 30 mai 2018 en trompant la Justice au moyen de rapports falsifiés, Sylvie Heffinger a protesté légitimement par voie de tracts et sur les réseaux sociaux.

DES TRAVAILLEURS SOCIAUX AU-DESSUS DES LOIS.
En effet, elle s’était heurtée à l’indifférence de la police locale qui aurait dû rappeler à l’ordre les services sociaux : en effet, ceux-ci ne s’étaient pas soumis à une ordonnance qui les obligeait à organiser des rencontres entre Leeroy et sa maman dès la première semaine de juin. Ceux qui parmi les policiers, auraient voulu aider la maman, n’avaient pas le pouvoir de le faire.

LEEROY EN DANGER AVEC LE DÉPARTEMENT DE LA GIRONDE.
Nul ne savait où était Leeroy, et l’année précédente un scandale avait éclaté, concernant les VIOLENCES subies par les ENFANTS au FOYER D’EYSINES géré par le Département de la Gironde.
Les éducateurs honnêtes ayant dénoncé ces violences avaient été réprimés par le Département, et le Département faisait semblant d’oublier que c’était bien lui, par son mauvais recrutement, qui était responsable des violences !

Leeroy était donc en danger : il fallait agir !

LA MASCARADE JUDICIAIRE DU 13 NOVEMBRE 2018.
Agir, c’est ce que firent Sylvie Heffinger et Jean-Michel Bessou à Bordeaux, et quelques amis ou sympathisants un peu partout.

Un procès pour diffamation leur fut intenté, et une première audience eut lieu le 13 novembre 2018.
Ce fut une mascarade judiciaire :
– Les magistrats ne permirent pas aux accusés d’évoquer les faits qu’ils avaient dénoncés.
– La juge refusa de recevoir de la main de Jean-Michel Bessou un petit dossier qu’il avait tardivement préparé pour elle, et qui lui aurait prouvé en trois minutes que tout ce que dénonçaient les deux accusés était la vérité.
– Le procureur fit un vibrant hommage d’une association qui fut peut-être « reconnue d’utilité publique », mais dont un foyer pour adolescents fut fermé en 2017 pour cause de maltraitances et d’un discours antisémites de certains « éducateurs » !
Le même magistrat accabla Sylvie Heffinger, en faisant une longue leçon de morale à cette mère qui a toujours tout sacrifié à ses enfants !

LA LOI ET LA MORALE.
Pourtant, au lieu de s’en prendre aux « diffamateurs », la vraie morale aurait exigé que les magistrats s’en prennent aux fonctionnaires et aux cadres associatifs « diffamés » : leurs malversations étaient prouvées, publiques, même pas contestées par les auteurs ! D’ailleurs les accusateurs de Sylvie Heffinger se gardèrent bien de venir en personnes au proc: ils en seraient repartis sous les crachats – voire, les menottes aux poignets (cela viendra, pensons-nous…) L’assistante sociale de Sylvie s’était prudemment fait muter loin de Bordeaux : un magistrat s’avisant qu’elle travaillait à 400 mètres du tribunal, pouvait être tenté de l’y convoquer en urgence pour s’expliquer sur deux faux en écritures qu’elle avait commis pour nuire à Sylvie Heffinger.

Mais dans la version bordelaise du « Droit », quand des gens honnêtes dénoncent des criminels, ce sont les gens honnêtes que l’on poursuit, pas les criminels qui eux sont bien couverts par leurs administrations !

Qu’est-ce que cela coûtait aux policiers, d’appeler l’Aide Sociale à l’Enfance ? : –  » Allo ,l’ASE de Bordeaux ? Ici le brigadier Un Tel, du commissariat central. Nous avons interrogé madame Heffinger contre qui vous avez porté plainte pour diffamation, mais il y a un problème : elle a produit une Ordonnance qui vous impose de lui présenter son enfant, donc si vous ne le faites pas vous n’êtes plus tout à fait fondés à déposer une plainte… »

Ne rêvons pas !

Et pour finir, Sylvie Heffinger et Jean-Michel Bessou furent condamnés pour avoir dénoncé des faits qui ne sont contestés par personne !

OUTRAGE À MAGISTRAT, NOUVELLE AUDIENCE.
S’agissant de Sylvie Heffinger qui était aussi accusée d’outrage à Magistrat pour avoir tenu quelques propos vite regrettés sur une juge des enfants, le tribunal lui imposa une sorte de mise à l’épreuve qui allait se traduire par la nouvelle audience le 24 septembre 2019.

Il ne sortit rien de positif de cette audience, mais désormais les faits commençaient à être connus : aucun magistrat n’osa attaquer trop franchement Sylvie Heffinger, un avocat adverse fit une plaidoirie sans consistance, et un procureur ne jugea pas utile d’accabler davantage l’accusée – dont la souffrance lui inspirait peut-être de la compassion ?

Quant à Leeroy,dans la salle du tribunal il n’y a que Sylvie et ses sympathisants qui pensaient à lui…

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